Dans le monde du cinéma d’action, il y a des voitures qui deviennent presque aussi iconiques que les personnages principaux. Et quand Michael Bay est aux commandes, on sait que ça va être explosif.
Dans 6 Underground, l’une des premières scènes nous plonge dans une course-poursuite d’anthologie, filmée à travers les rues de Florence. Entre les ruelles pavées, les dérapages maîtrisés et les accélérations nerveuses, une voiture attire immédiatement l’œil : une Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio d’un vert éclatant.
Une italienne au tempérament bien trempé, parfaite pour accompagner un film où tout va à 100 à l’heure.
Table des matières
- 1 L’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio : la vraie star du film
- 2 Pourquoi une Alfa Romeo et pas une autre sportive ?
- 3 Une teinte unique pour le film : le vert acide
- 4 Des cascades bien réelles : pas de CGI pour la Giulia
- 5 Un coup de projecteur sur Alfa Romeo
- 6 Pourquoi cette Giulia Quadrifoglio fait rêver ?
- 7 Conclusion : une voiture qui vole la vedette aux acteurs
L’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio : la vraie star du film
Si 6 Underground a su marquer les esprits avec son rythme effréné, c’est en partie grâce à cette Giulia Quadrifoglio, choisie pour incarner la voiture des héros dans l’une des scènes les plus spectaculaires du film.
Pourquoi ce choix ? Parce que la Giulia Quadrifoglio n’est pas une simple berline sportive. C’est un monstre de puissance, taillé pour la performance.
Ses caractéristiques techniques en disent long :
Moteur | V6 biturbo 2.9L développé avec Ferrari |
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Puissance | 510 chevaux |
0 à 100 km/h | 3,9 secondes |
Vitesse max | 307 km/h |
Transmission | Propulsion ou intégrale Q4 |
Ce n’est pas juste une berline avec un moteur survitaminé. C’est un pur-sang italien, pensé pour offrir des sensations brutes, une direction ultra-précise et un châssis affûté comme une lame.
Dans le film, on la voit glisser entre les fontaines, échapper aux balles, et se faufiler à toute vitesse entre les voitures et les passants. De quoi donner envie d’en prendre le volant, non ?
Pourquoi une Alfa Romeo et pas une autre sportive ?
Michael Bay, connu pour ses choix audacieux en matière de voitures (on se souvient des Camaro jaunes de Transformers), aurait pu opter pour une Ferrari, une Lamborghini ou une McLaren. Alors pourquoi une Alfa Romeo ?
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Un hommage au cinéma italien
Florence, c’est l’Italie pure. Et rien ne représente mieux l’Italie qu’une Alfa Romeo.
Plutôt que de tomber dans le cliché des supercars ultra-luxueuses, la production a choisi une voiture à la fois élégante et bestiale, dans la plus pure tradition automobile transalpine. -
Une voiture agile et spectaculaire
La Giulia Quadrifoglio, avec sa propulsion et son différentiel actif, est une machine qui aime être malmenée. Dans les virages serrés et les accélérations brutales, elle garde du contrôle tout en donnant un effet visuel impressionnant à l’écran. -
Un design agressif, mais pas ostentatoire
L’avant sculpté, les prises d’air béantes, les quatre sorties d’échappement… La Giulia Quadrifoglio a la gueule d’une sportive, mais sans tomber dans l’extravagance d’une Lamborghini Huracán. Elle incarne une élégance agressive, parfaite pour un film d’action.
Une teinte unique pour le film : le vert acide
Le choix de la couleur ne doit rien au hasard. Dans le film, la Giulia Quadrifoglio arbore un vert électrique, presque fluorescent. Une couleur qui n’existe pas au catalogue Alfa Romeo, mais qui a été spécialement choisie pour ce rôle.
Pourquoi ce vert si particulier ?
- Pour la démarquer du décor : Dans les ruelles de Florence, une voiture blanche ou noire se serait trop fondue dans le paysage. Avec ce vert, elle saute aux yeux à chaque plan.
- Pour souligner l’énergie du film : Tout dans 6 Underground est exagéré, nerveux, explosif. Cette teinte verte renforce cette impression de vitesse et de chaos.
- Pour marquer les esprits : Une Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio, c’est déjà un spectacle. Mais une Quadrifoglio verte qui drift dans les rues italiennes ? Là, c’est du cinéma pur et dur.
Des cascades bien réelles : pas de CGI pour la Giulia
Contrairement à certains films d’action où les voitures sont remplacées par des images de synthèse, 6 Underground a misé sur des cascades bien réelles.
Toutes les scènes impliquant la Giulia ont été tournées avec de vraies voitures, pilotées par de véritables cascadeurs professionnels.
Le but ? Capturer la puissance brute et l’agilité de la Quadrifoglio sans artifices.
Résultat :
- Des drifts millimétrés dans les ruelles de Florence
- Des accélérations spectaculaires en plein centre historique
- Des sauts et des esquives ultra-réalistes
Si la Giulia semble invincible dans le film, c’est aussi parce que la production a utilisé plusieurs exemplaires, certains modifiés pour encaisser les chocs et les cascades.
Un coup de projecteur sur Alfa Romeo
Ce n’est pas la première fois qu’une Alfa Romeo joue les vedettes au cinéma. On se souvient des Alfa GTV6 dans James Bond – Octopussy, des Alfa 159 dans Quantum of Solace ou encore de la 4C dans Mission Impossible: Rogue Nation.
Mais avec 6 Underground, la Giulia Quadrifoglio devient une icône moderne du cinéma d’action.
Impact sur les ventes ?
Après la sortie du film, l’intérêt pour la Quadrifoglio a explosé, notamment aux États-Unis où le public a découvert une Alfa Romeo capable de rivaliser avec les BMW M3 et Mercedes-AMG C63.
Pourquoi cette Giulia Quadrifoglio fait rêver ?
Si la Giulia Quadrifoglio a autant marqué les esprits, c’est parce qu’elle combine des éléments qu’on ne retrouve pas toujours sur les berlines sportives :
✔ Un moteur conçu avec Ferrari
✔ Un comportement dynamique digne d’une supercar
✔ Un design agressif et racé
✔ Une sonorité incroyable, surtout en mode Race
Et surtout… c’est une voiture qui a du caractère.
Pas besoin d’être fan d’Alfa Romeo pour apprécier le spectacle offert par la Quadrifoglio dans 6 Underground. C’est une démonstration de ce qu’une vraie sportive peut offrir : émotion, frissons et adrénaline.
Conclusion : une voiture qui vole la vedette aux acteurs
Dans un film où les explosions et les courses-poursuites sont omniprésentes, il faut une voiture à la hauteur. L’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio ne se contente pas de suivre le rythme : elle vole la vedette.
Michael Bay a réussi son pari : offrir une scène d’ouverture où l’automobile est bien plus qu’un simple accessoire. Et honnêtement, si un jour quelqu’un me propose de prendre le volant d’une Giulia Quadrifoglio, même sans course-poursuite à Florence, je signe tout de suite.
Et vous, si vous aviez le choix, quelle voiture rêveriez-vous de piloter dans une scène de film d’action ?